Looool trop marant ! moi si jen ai
Pi sont ben ben bonnes
Un homme décédé arrive au paradis dans le bureau de St-Pierre et remarque que les murs sont ornés une multitude d'horloges. Intrigué, il lui demande :
- Dites-moi, à quoi servent ces horloges accrochés contre vos murs ?
- Ce sont les horloges du mensonge, lorsqu'une personne dit un mensonge, son horloge personnelle avance d'une heure.
Il poursuit :
- Voici par exemple celle de mère Térésa, elle est bloquée sur midi, elle n'a donc jamais dit de mensonge.
Il continue :
- Voici celle de Martin Luther King, elle marque deux heures, il a donc dit deux mensonges dans sa vie.
L'homme observe les différentes horloges et demande :
- Je ne vois pas celle de Jean Charest ?
St-Pierre de répondre :
- Elle se trouve dans le bureau de Jésus, il l'utilise comme ventilateur.
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C'est un fou et un savant, le savant propose un défi : ils se posent des questions, si le fou ne trouve pas les réponses, il lui donne 1 $. Si c'est le savant qui ne trouve pas il lui donne 100 $.
Le savant commence:
-Alors, qu'est-ce qui a quatre pattes et fait "miaou miaou"?
-Heaiinn? J'sais pas ! Tiens, 1 $ !
-Bon, qu'est-ce qui a quatre pattes et fait "ouaf ouaf"?
-Heaiinn? J'sais pas ! Tiens, 1 $ !
-Bon, à toi...
-Heu... C'est quoi qui a 2 pattes le matin, 4 pattes le midi, et 10 pattes le soir ?
Le savant cherche longtemps mais ne trouve pas la réponse. Agacé :
-Bon merde, je trouve pas... Tiens tes 100 $... C'était quoi la réponse?
-Heaiinn? J'sais pas, tiens, 1 $ !
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Cela se passe dans un sauna. Quelques hommes en tenue légère discutent, quand tout à coup un cellulaire se met à sonner...
— Allo, chéri, tu es au sauna ?
— Oui, ma chérie.
— Chéri, tu ne vas pas me croire, je suis devant un magasin de fourrures. Il y a un vison magnifique, de toute beauté, à un prix incroyable.
— Combien le vison, ma chérie ?
— Donné, mon amour. On demande... 5000 $... tu te rends compte ?
— Mais tu en as déjà des manteaux, ma chérie !
— S'il te plaît, chéri, il est vraiment... superbe !
— OK, OK, vas-y, achète-le, ton vison.
— Oh, merci mon amour. Dis, je ne veux pas t'embêter, mais, tu sais, en passant devant le concessionnaire Mercedes tout à l'heure, j'ai vu le dernier coupé... il est beau, magnifique... En plus, j'ai parlé au vendeur et celui en exposition est tout neuf, intérieur cuir, peinture dorée... Je ne veux pas abuser de ta gentillesse, mais qu'en penses-tu ?
— Chérie, tu exagères, on a déjà des voitures !
— Tu m'avais promis un jour qu'on aurait un coupé !
— Combien la voiture, ma chérie ?
— Tu ne vas pas me croire, mon chéri, ils nous la laissent à 85 000 $, et avec toutes les options !
— Bon, OK, OK, on a de l'argent, vas-y... prend-la, ta voiture !
— Mon amour, je t'aime, c'est merveilleux la vie avec toi ! Dis, j'abuse, mais tu te souviens de notre petit voyage sur la Côte d'Azur ? Tu te rappelles la maison des Malouin avec la piscine, le tennis ? Tu savais qu'elle est en vente ? Je l'ai vue en passant devant l'agence. Et si on l'achetait pour avoir un pied-à-terre dans le Midi de la France ?
— J'y avais pensé déjà, oui... tu me dis qu'elle est en vente ?
— C'est vrai, chéri, tu y as pensé ? Je peux vraiment aller à l'agence ? Tu sais, elle n'est vraiment pas chère, et quelle classe !
— Combien elle vaut ?
— Ils l'ont affichée à 425 500 $, mon amour !
— Bon, tu y vas, de toute façon, j'ai de l'argent, autant le dépenser... Mais pas plus de 420 000 $.
— Mon amour, c'est le plus beau jour de ma vie ! Tu es merveilleux, je t'aime. Vivement ce soir !
— À ce soir, ma chérie.
Le gars raccroche, lève la main et crie :
— Il est à qui ce cellulaire ?
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Un jeune couple éteint la lumière le soir dans la chambre à coucher. Au bout de quelques secondes, le mari se tourne et se retourne dans le lit... Il ne trouve pas le sommeil. Il tape doucement sur l'épaule de son épouse :
— Chérie... euh... est-ce que...
— Oh non, pas ce soir. J'ai rendez-vous demain matin chez le gynécologue et je tiens à ce que tout soit propre ! Bonne nuit.
Quelques minutes passent et le mari se remet à faire la crêpe dans le lit conjugal. Délicatement, il retape sur l'épaule de son épouse :
— Euh, dis-moi, demain tu n'as pas de rendez-vous avec ton dentiste que je sache ?
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C'est une mémé et un pépé de 80 ans qui fêtent leur anniversaire de mariage. Le vieux demande à sa femme :
— Écoute, ça fait 60 ans qu'on est mariés et tu ne m'as toujours pas montré ce que tu gardes dans ton coffre. Je veux voir ce qu'il y a dedans.
Après avoir hésité, la vieille ouvre son coffre. Le vieux y voit trois oeufs et 10 000 $. Il demande alors :
— C'est quoi, les trois oeufs ?
Sa femme lui répond :
— Chaque fois que je t'ai trompé, j'ai mis un oeuf.
Son mari se dit que ce n'est pas beaucoup et lui pardonne. Mais, il lui demande :
— C'est quoi, les 10 000 $ ?
Sa femme lui répond alors :
— Eh bien, chaque fois que j'ai eu 12 oeufs, je les ai vendus
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Jésus crucifié sur la croix, voit Jean qui le regarde au loin :
— Jean ! Viens ici...
Jean regardant les gardes romains et par peur de représailles s'approche de Jésus lentement... Un garde s'approche de lui et lui dit :
— Halte ! Tu ne peux t'approcher de lui.
Et pour lui faire comprendre, il lui coupe une jambe. Jésus :
— Jean, viens ici !
Jean s'avance difficilement sur une jambe en sautant. Le garde s'avance à nouveau et, pour lui faire comprendre, lui coupe l'autre jambe. Jean tombe par terre la face dans boue... Jésus :
— Jean, viens ici !
Jean se tire avec ses bras... Le garde se dit qu'il ne comprendra jamais et lui coupe un bras. Jésus :
— Jean viens ici !
Jean s'avance avec le peu de force qu'il lui reste, se traînant avec le bras disponible. Le garde, dans un geste d'incompréhension, lui coupe le deuxième bras. Jésus :
— Jean, viens ici !
Jean se traîne dans la boue et parvient à se tirer avec l'aide de son menton, et arrive finalement au pied de la croix... et dit :
— Oui, Jésus...
Jésus :
— Regarde, Jean, on voit ta maison d'ici !
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Un prisonnier s'échappe d'une prison où il a été enfermé durant 15 ans. Au cours de son évasion, il croise une maison isolée et s'y introduit. Il y trouve un jeune couple au lit. Il agrippe le jeune homme, le sort du lit et l'attache à une chaise. Il attache aussi la jeune femme et, pendant qu'il fait les noeuds, il l'embrasse dans le cou. Puis il se lève et court vers la salle de bain. Tandis qu'il est absent, le jeune homme dit à sa femme :
— Écoute, ce gars-là est évadé, regarde ses vêtements. Il a probablement passé beaucoup d'années en prison et n'a sans doute pas eu de femme depuis longtemps. J'ai vu de quelle façon il t'a embrassé dans le cou. Ce type doit être très dangereux et, s'il se fâche, il nous tuera tous les deux. Mais... peut-être que si tu le satisfaisais, ça nous sauverait. Sois forte chérie, je t'aime.
Ce à quoi la femme répond :
— Il ne m'embrassait pas dans le cou, il me chuchotait à l'oreille qu'il te trouvait très sexy et me demandait si nous avions un pot de Vaseline dans la salle de bains... Sois fort chéri, je t'aime aussi !
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Après une soirée, un gars raccompagne sa copine chez elle, dans un quartier très huppé. Ils sont sur le point de s'embrasser pour se dire bonne nuit devant la porte d'entrée lorsque le gars commence à se sentir excité sexuellement. Avec un air confiant, le sourire du tombeur aux lèvres, il se penche vers elle en souriant, une main accotée contre le mur (très important pour la suite de l'histoire !) et lui dit :
— Chérie, me ferais-tu une pipe ?
Horrifiée, elle répond :
— Es-tu malade ? Mes parents pourraient nous voir !
— Oh allleeeez ! Qui va nous voir à cette heure ?
— Non, s'il te plaît. Imagines-tu si on se fait prendre ? La fille du juge local se doit d'être exemplaire.
— Ooooh allleeeez ! Il n'y a personne aux alentours, ils dorment tous.
— PAS QUESTION ! C'est trop risqué !
Le gars est de plus en plus excité :
— Oooooh s'il te plaît !, s'il te plaîîîîîît, je t'aime tellement !
— Non, non et non. Je t'aime aussi, mais je ne peux pas !
— Oh ouiiiiii tu peux ! Tu peeeeeeux ! S'il te plaîîîîîîît ?
— Non, non et non. Je ne peux tous simplement PAS.
— Je t'en suppliiiiiiiiiiiie...
— Donne-moi une seule bonne raison.
Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnée de 10 bonnes minutes sur les pulsions et les besoins masculins, d'une voix de plus en plus rauque, le souffre court, l'oeil lubrique, le rut animal transparaissant dans sa voix. Soudain, la lumière de l'escalier s'allume et la soeur aînée de la jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux bouffis, et leur annonce d'une voix endormie :
— Papa m'a dit de te dire que, soit tu lui fais sa pipe, soit moi je la lui fais, et qu'en cas de besoin, maman dit qu'elle peut descendre elle-même et la lui faire. Mais par pitié, dis-lui d'enlever sa main de l'interphone !
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yen a des tonne comme sa
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